jeudi 5 juillet 2012

Agriculture biologique Le logo de l'UE obligatoire à partir du 1er juillet

Le logo agriculture biologique de l'UE sera obligatoire à partir du 1er juillet 2012. 
À partir du 1er juillet 2012, le nouveau logo biologique de l'UE sera obligatoire sur toutes les denrées alimentaires préemballées biologiques qui ont été produites dans les États membres de l'UE et respectent les normes en vigueur, rappelle la Commission européenne dans un communiqué diffusé jeudi.

Le logo restera facultatif pour les produits biologiques non emballés et importés. L'apposition, à côté du logo de l'UE, d'autres logos à caractère privé, régional ou national, sera toujours autorisée.

Le logo biologique « eurofeuille » de l'UE a été introduit le 1er  juillet 2010, mais, pour permettre aux opérateurs de s'adapter à la nouvelle réglementation et d'éviter le gaspillage d'emballages existants, une période transitoire de deux ans avait été accordée avant que sa présence ne devienne obligatoire sur tous les produits.

Dans le même champ visuel que le logo devront également figurer le numéro de code de l'organisme de contrôle et le lieu de production des matières premières agricoles.

Céréales : risques de chauffe sur les prix

Le boisseau de maïs, en hausse sur les marchés agricoles, s'échange actuellement autour de 6,50 dollars le boisseau aux Etats-Unis et à plus 215 euros la tonne en France.

Les grains vont chauffer. Sur le marché français, les acheteurs hésitent à s'engager et attendent que les marchés à terme reviennent à des niveaux de cotations plus raisonnables. Ainsi, en dépit d'un léger recul vendredi, les cours du blé européen n'en affichaient pas moins un bond de près de 25 euros en moins de deux semaines. L'échéance de référence (pour livraison en novembre 2012) cabote tout de même autour de 228 euros la tonne.

Cet hiver, près de 700 000 hectares de blé tendre, d'orge et de colza sans couverture neigeuse ont été détruits par le gel. Pour le seul blé tendre, les dégâts ont été constatés sur 350 000 hectares. Même si les céréaliers ont replanté, ils ont souvent opté pour de l'orge ou du maïs (lien abonnés).
Les risques que font peser la chaleur et le déficit hydrique aux Etats-Unis et sur le pourtour de la Mer noire poussent les pays importateurs à effectuer des achats de couverture sur la scène internationale.
Résultat, Rouen, premier port céréalier européen, a annoncé cette semaine un trafic agroalimentaire de quelque 70 000 tonnes de céréales entre le 21 et 27 juin dernier, dont près de 36 000 tonnes de blé, acheminées en grande partie vers l'Algérie (25 000 tonnes).
RÉCOLTE MOINDRE EN RUSSIE
La Russie, troisième plus gros exportateur de blé au monde, prévoit de récolter environ 85 millions de tonnes de céréales en 2012, soit nettement moins qu'en 2011, en raison de la sécheresse dans le sud du pays.
Les températures élevées qui sévissent dans le sud du pays suscitent des craintes sur les marchés mondiaux, ce qui maintient les prix des céréales à des niveaux élevés. Le ministre de l'agriculture russe Nikolaï Fedorov a précisé lundi que neuf régions souffraient actuellement de la sécheresse. Par ailleurs, elles ont aussi souffert cet hiver du gel, qui a affecté une partie des terres ensemencées.
"En se basant sur ces chiffres, nous sommes certains que le potentiel d'exportation du pays n'est pas inférieur à 20 millions de tonnes", a-t-il cependant rassuré, ajoutant que le gouvernement n'avait pas l'intention de mettre en place un embargo sur les exportations, comme ce fut le cas en 2010, une mesure destinée à contenir l'envolée des prix dans le pays mais qui avait provoqué une flambée des cours mondiaux du blé. Moscou a levé cet embargo le 1er juillet 2011.
"S'il est clair que les premiers rendements ne sont pas à la hauteur des attentes en Ukraine comme en Russie, les opérateurs observent avec intérêt la qualité des grains produits dans la mesure où la formation du prix sur le marché physique en dépendra fortement", ajoutait pour sa part Agritel.
DES STOCKS AMÉRICAINS EN RECUL DE 14 %...
De l'autre côté de l'Atlantique, les cours des produits agricoles pourraient réagir violemment dans les prochaines séances au rapport du département américain de l'agriculture, publié vendredi à la fermeture des marchés européens.
Selon ce rapport, les stocks de maïs des Etats-Unis, premier producteur au monde, seraient en recul de 14 % par rapport à l'an passé, après une récolte médiocre en 2011. Début juin, les Etats-Unis comptabilisaient 3,15 millions de boisseaux (environ 25 kg) de maïs de stocks contre 3,67 millions un an plus tôt.
Dans le même temps, les stocks de blé sont également en recul de 14 % (à 743 millions de boisseaux). A l'inverse, les réserves de soja progressent de 8 % à 667 millions. Les Etats-Unis sont les premiers producteurs mondiaux de soja et de maïs et les premiers exportateurs de blé.
Autre mauvaise nouvelle sur le front des céréales, dans leur rapport hebdomadaire sur l'état des cultures, les analystes de l'USDA estiment qu'au 24 juin, 56 % des plants de maïs pouvaient être considérés comme de qualité "bonne ou excellente" contre 63 % la semaine passée et 68 % l'an dernier. Concernant les cultures de soja, 53 % des cultures sont jugées bonnes à excellentes contre 56 % la semaine passée et 65 % l'an dernier.
"Les températures atteignent des sommets aux Etats-Unis particulièrement sur les Etats du sud. L'Indiana et le Kansas sont particulièrement affectés avec des températures proches des 40 degrés. La situation semble moins préoccupante à ce jour sur le nord de la "corn belt", bien que l'on ait enregistré également hier des températures supérieures à 35 degrés sur Chicago. Il va devenir crucial d'avoirdes pluies significatives d'ici la fin de semaine prochaine", insiste le courtier en grains Agritel.
Enfin, en Australie, autre grenier à grains de la planète - le pays est le quatrième exportateur mondial -, l'arrivée de la perturbation climatique El Nino pourrait sécher sur pied les moissons et aggraver cette hausse des cours attendue.
Lire la note de blog : "Gare aux grains !"
... MAIS SURFACES EN HAUSSE
Une nouvelle, en revanche, de nature à tirer les prix à la baisse, les superficies plantées en maïs aux Etats-Unis devraient atteindre un niveau record depuis 1937, ce qui pourrait pousser à la hausse la récolte de 6 % par rapport à l'an passé, malgré la sécheresse actuelle.
Les plantations de maïs ont bénéficié des prix juteux sur les marchés agricoles. Dans l'Idaho, le Minnesota, le Nevada, le Dakota du Nord et du Sud et l'Oregon, des surfaces jamais enregistrées jusqu'ici ont été plantées. Les cours de cette céréale à Chicago comme à Paris leur permettent d'espérer engranger davantage de récoltes. Le boisseau de maïs s'échange actuellement autour de 6,50 dollars le boisseau aux Etats-Unis et à plus 215 euros la tonne en France.
Les surfaces en blé et en soja ont également progressé. Touchant le soja, à rebours des mauvaises récoltes brésilienne et argentine, qui représentent la moitié de la production mondiale, la hausse des surfaces aux Etats-Unis permet d'atteindre le troisième niveau jamais enregistré et de tabler sur une récolte en hausse de 2 % par rapport à l'an passé.

Tunisia Changing to Organic to Meet Rising Demand for Dates, Fruit

Tunis — Tunisia has extended its qualification in the area of organic products continually over the last decade. "Organic products, known under the hallmark Bio-Tunisia, are becoming more and more important on the local market and are being demanded by more and more on the international market as well," says Elke Peiler, project manager foodstuff sector of the German-Tunisian IHK, as quoted, on Monday, by Dutch website Freshplaza.com.
Dates are a Tunisian trademark very closely linked to the country. Dates have also become the most important product in the organic sector. In 2011, Freshplaza reports, 6,000 tons of organic dates were harvested in Tunisia, of which 4,000 tons (67%) were exported.
Sixty-eight per cent of these exports went to Germany, 11% to the United States and 7% to Morocco. At present, about 1,000 hectares of date orchards have been certified "organic." Most of these are in south-eastern Tunisia.
The country's north-eastern region is eminently suited for citrus cultivation, especially the Cap Bon peninsula.
Seven Tunisian producers have been successful in obtaining the certificate and already exported organic oranges and lemons. It is the intention to increase the production consequently.
Also, in the northern area, the increase of the organic cultivation is going in the right direction. The certified area last year went up from 2,500 to 6,000 hectares and will be used for the cultivation of fruit, vegetables and grain, but also for medicinal plants and aromatic plants.
The organic sector is actively supported financially by Government. The Agriculture Ministry actually has ambitious plans: the area used for organic agriculture and the number of organic companies must be increased.
Up to 2014, the present export yields must be increased from 44 million euros to about 60 million euros.
With the present export value of the organic sector Tunisia is in second place of African countries and twenty-fourth worldwide.
Freshplaza.com is an independent Dutch news source for companies operating in the global fruit and vegetables sector.

Fièvre aphteuse Une stratégie mondiale qui doit servir pour d'autres maladies animales (FAO/OIE)

Plus de 100 nations ont approuvé vendredi à Bangkok (Thaïlande) une nouvelle stratégie mondiale pour lutter contre la fièvre aphteuse. Elle doit ensuite pouvoir s'appliquer aux autres maladies animales, le tout « au service des agriculteurs et des consommateurs », selon un communiqué de la FAO et de l'OIE à l'issue de la Conférence mondiale sur la lutte contre la fièvre aphteuse, qui a eu lieu du 27 au 29 juin 2012.

La stratégie mondiale doit permettre de maîtriser la fièvre aphteuse dans la plupart des pays, voire son élimination dans certains, expliquent la FAO et l'OIE. Elle doit favoriser l'amélioration des services vétérinaires et de leurs infrastructures, et autoriser une meilleure prévention et lutte contre d'autres grandes maladies du bétail.

Si les pays en développement et leurs petits agriculteurs sont souvent les plus durement frappés par la fièvre aphteuse, « une maladie virale extrêmement contagieuse qui touche plusieurs catégories d'animaux » (1), rappelle le communiqué des deux organisations, la maladie qui occasionnent 5 milliards de dollars de pertes annuelles dans le monde impacte également les pays développés comme la France par le biais des importations. « Ses effets se transmettent jusqu'aux consommateurs qui sont confrontés à des hausses des prix du lait, de la viande et d'autres denrées alimentaires », précisent la FAO et l'OIE.


En bref, ces mesures concernent tout le monde.

Ainsi, « la stratégie mondiale élaborée par la FAO et l'OIE émet des recommandations à l‘intention des pays en matière de lutte contre les foyers de fièvre aphteuse, et leur permet de prendre des mesures précoces pour empêcher la maladie de se propager aux exploitations et communautés voisines ou de franchir les frontières ». Elle s'inscrit dans un contexte d'anticipation de l'augmentation de la production d'origine animale dans les années à venir et à « l'intensification du commerce transfrontalier » pour nourrir une population mondiale en pleine croissance.


La stratégie mondiale prévoit de promouvoir et de renforcer la lutte contre la fièvre aphteuse avec pour objectif le statut « indemne de fièvre aphteuse », qui ne concerne, à l'heure actuelle, que 66 États membres de l'OIE sur 178. L'OIE devra donner sa reconnaissance officielle aux programmes nationaux de lutte.

Les 100 pays signataires devront améliorer leurs services vétérinaires pour les mettre en conformité avec les normes de qualité de l'OIE, ce qui devraient par ailleurs leur permettre de mieux combattre et prévenir d'autres grandes maladies frappant le bétail et d'autres animaux, ajoute le communiqué.

La stratégie mondiale prévoit en outre la création de banques de vaccins régionales et de centres de contrôle de qualité pour les pays en développement. Parmi les autres mesures figurent une meilleure efficacité des systèmes de surveillance, des capacités des laboratoires, du contrôle de qualité des vaccins et du contrôle des déplacements des animaux.

« La stratégie aura un impact significatif en atténuant les ravages causés par la maladie et en améliorant la réponse des pays face à de nombreuses autres maladies, dont certaines affectent directement la santé de l'homme », souligne le communiqué. Par ailleurs, « une lutte mondiale est dans l'intérêt des pays libérés de la fièvre aphteuse en empêchant sa réintroduction sur leur territoire », a affirmé le directeur général de l'OIE, Bernard Vallat, lors de la conférence.

Mais « pour garantir le succès de la stratégie mondiale, le partenariat entre la FAO et l'OIE ne suffit pas. Il faut la participation des producteurs et des secteurs de la commercialisation, ainsi que celle des services vétérinaires, des sociétés pharmaceutiques et des fabricants de vaccins, sans compter l'appui soutenu des institutions de financement et la générosité des bailleurs de fonds », a prévenu le sous-directeur général de la FAO Hiroyuki Konuma, lors de cette conférence.

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(1) La fièvre aphteuse peut toucher les bovins, porcins, ovins, caprins et autres ruminants, ainsi qu'un certain nombre d'espèces sauvages, rappellent la FAO et l'OIE.

UIPP WEB

PYTODATA WEB

Produits phytopharmaceutiques Informations pour les Professionnels de l'Agriculture

PHYTODATA



Une bonne utilisation des produits nécessite une connaissance précise des produits. Les usages, le transport, le stockage ou les fiches de sécurité sont autant de données qui sont indispensables. Créée à l’initiative de l’UIPP et éditée par la société CMT SAS (groupe WEKA), PHYTODATA® est une base de données produits phytopharmaceutiques (http://www.phytodata.com ) accessible à tous moments par INTERNET à tous les professionnels de la filière agricole.

PHYTODATA® : une base centralisée de données réglementaires

Gestion de l'information logistique des produits

Phytodata permet d’avoir accès gratuitement, 24h/24, 7j/7, aux informations sur les produits phytopharmaceutiques concernant les usages, le transport, le stockage, la redevance pour pollution diffuse (RPD) et les fiches de données de sécurité (FDS). La bonne actualisation des données réglementaires et logistiques concernant les produits phytopharmaceutiques stockés / commercialisés est un pré requis essentiel à une gestion des produits conforme à la réglementation.  
Ci-dessous quelques exemples :
  • Information logistiques pour la gestion des stocks : Codes EAN des produits, UC, UL.
  • Informations ADR pour les déclarations de transport de matières dangereuses : N° ONU, Classe de danger, Groupe d’emballage etc.
  • Propriétés physiques pour le stockage des produits : Etat physique, ICPE, point éclair etc.
  • Evaluation du risque chimique : Phrases R, Symboles de danger etc.
Cette base de données logistique et réglementaire est constamment actualisée par les firmes elles mêmes. PHYTODATA®, accessible sur internet, regroupe les informations réglementaires et logistiques sur plus de 90% des produits du marché. Ces données peuvent également être transmises par mail, fax ou courrier.
En plus de la consultation gratuite en ligne, PHYTODATA® propose aux distributeurs des packages payants leurs permettant de mettre à jour leurs bases de données internes (PHYTODATA® Téléchargement) ou d’enrichir leurs sites Web ou Extranet avec des données constamment actualisées (PHYTODATA® Web service).

PHYTODATA® - Informations "redevances pour pollution diffuse"

En plus de données logistiques et réglementaires citées plus haut, les données nécessaires aux distributeurs de produits phytopharmaceutiques pour gérer la nouvelle réglementation relative à la redevance pour pollutions diffuses (RPD) sont disponibles gratuitement sur PHYTODATA® depuis le 26 décembre 2007.
Les données mises à disposition concernent les produits des metteurs au marché abonnés à la plateforme PHYTODATA® parmi lesquels figurent la plupart des sociétés adhérentes de l'UIPP (Union des Industries pour la Protection des Plantes) et un bon nombre de sociétés adhérentes à l'UPJ (Union des entreprises pour la Protection des Jardins et des espaces verts).
La consultation des données "redevance" peut se faire produit par produit ou par téléchargement gratuit d’un fichier global.
La quasi-totalité des distributeurs français (1334 coopératives ou négociants!) se sont enregistrés sur la rubrique "RPD" du centre de téléchargement et disposent ainsi régulièrement d'un fichier global, constamment actualisé, consolidant les montants de redevance par produit et par unité de conditonnement.

Fédérer les fabricants, les distributeurs et les agriculteurs autour d’un service inédit

Action volontaire dès le départ, Phytodata ne fonctionne que grâce à la responsabilité de nos entreprises qui ont accepté de signer la « charte Phytodata ». 
 Antoine Crabit, chargé des affaires économiques à l’UIPP, souligne : « Nous avons réussi à faire passer Phytodata dans la culture des firmes et cela a été une vraie réussite ».
Mais Phytodata a aussi changé l’ensemble de la filière. Antoine Crabit ajoute : « Le souci constant de professionnalisation, les informations en temps réel disponibles sur la plate-forme sont des leviers extraordinaires pour augmenter le niveau de compétence des fournisseurs ».

Quick FDS, le grand frère de Phytodata

Phytodata s’inspire de la base de données Quick FDS (qui concerne tous les produits chimiques), mise en place en 1993 et disponible gratuitement pour les distributeurs. 2 500 fiches de sécurité (FDS) sont répertoriées à ce jour sur l’ensemble des produits chimiques.
La première démarche « Bonnes Pratiques » de l’UIPP fut de faire adhérer les entreprises en 1998 à cette base de données, puis de créer Phytodata sur un principe identique et d’en faire un point d’information unique et incontournable.

Assurer la sécurité des utilisateurs

Depuis juin 2010, Phytodata comprend un nouvel onglet « Usages » venu s’ajouter aux cinq déjà existants (Logistique, Transport, Stockage, Étiquetage, Redevances Pollutions Diffuses).
Concrètement, pour chacun des produits phytopharmaceutiques de cette nouvelle rubrique, Phytodata décrit les utilisations autorisées ainsi que les informations réglementaires essentielles pour un emploi conforme : cultures, cibles, traitement, doses d’application, nombre maximal d’applications, délais avant récolte (DAR), délais de rentrée dans les parcelles après traitement (DRE), zones non traitées minimales le long des cours d’eau (ZNT).
Ces informations étaient très attendues par la profession, notamment pour mieux maîtriser  les mesures d’accompagnement de l’utilisation des produits (mesures rendues obligatoires par le Grenelle de l’Environnement).
Cette démarche de transparence initiée par l’UIPP permet notamment aux distributeurs agréés d’exercer pleinement leur rôle de conseil auprès de leurs clients agriculteurs. Ce système est une garantie supplémentaire pour la sécurité de ces derniers et pour le respect de l’environnement.
A l'avenir, la mise en place des informations relatives aux usages des produits, très attendues de la profession, constituera une étape importante dans la vie du site.
Phytodata en quelques chiffres
2 400 produits « Agricole » et « Jardin » sont référencés et mis à jour régulièrement par les sociétés.
En 2010, 57 000 visiteurs se sont rendus sur le site, avec 300 000 pages vues.

Pour aller plus loin :
PHYTODATA® : Informations réglementaires et logistiques sur les produits phytopharmaceutiques
http://www.phytodata.com

UIPP


Vidéo

A quoi servent les pesticides ?
Publié le 16 mars 2012
Jean Charles Bocquet (Directeur général UIPP) : Salon de l'agriculture 2012 (25 février 2012)
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