L’agriculture biologique, qui rompt avec l’utilisation de pesticides et d’engrais chimiques, permet par ailleurs la production de denrées de grande qualité, d’améliorer la fertilité des sols ainsi que de lutter contre la pollution.
En Tunisie, ce secteur ne s’arrête pas d’enregistrer une évolution en matière de la superficie réservée aux cultures biologiques dont le développement a été excité par la forte croissance de la demande internationale surtout de l’huile de l’olive. Pour profiter de ces nouvelles opportunités offertes sur les marchés extérieurs et de valoriser ses atout dans ce secteur (précocité de la production, climat, proximités des marchés européens, prix compétitifs), la Tunisie a accordé une préoccupation particulière à l’organisation de cette filière.
Dans ce cadre, le Comité de coordination du Rassemblement Constitutionnel Démocratique (RCD) de Kairouan (Centre) a tenu, samedi, un séminaire, sous le thème « La réalité et les perspectives de l’agriculture biologique en Tunisie ». A cette occasion, M. Abderrazak Daâloul, secrétaire d’Etat chargé de la Pêche, a passé en revue la stratégie tunisienne quant à la promotion de l’agriculture biologique à l’horizon 2016. Cette stratégie concerne principalement les surfaces exploitées en bio. Ces dernières ont subi une extension de 16 mille ha en 2001 à 285 mille ha en 2008 et ce à l’issue de l’adhésion de la Tunisie, dès juin dernier, dans la liste des pays exportateurs des produits bio à destination de l’Union européenne jusqu’à 2012.
Selon les chiffres fournis à l’issue des travaux du séminaire du Kairouan, les superficies agricoles biologiques ont passé de 16 mille hectares en 2001 à 285 mille en 2008. Il est à signaler que dans le gouvernorat de Kairouan, les superficies globales adoptées en bio ont touché les 1250 hectares qui ont abouti à la production biologique, durant le même exercice, 5600 tonnes.
Force est de savoir que la Tunisie dispose déjà de deux produits où la culture biologique est fortement présente : Les dattes qui s’approchent beaucoup d’un modèle biologique et naturel n’utilisant pas de pesticides et peu d’engrais chimiques. Mais aussi l’Olivier, particulièrement en Tunisie Centrale, Sahel et Basses Steppes et dans la partie méridionale de la Tunisie, du coté de Djerba-Zarzis
En Tunisie, ce secteur ne s’arrête pas d’enregistrer une évolution en matière de la superficie réservée aux cultures biologiques dont le développement a été excité par la forte croissance de la demande internationale surtout de l’huile de l’olive. Pour profiter de ces nouvelles opportunités offertes sur les marchés extérieurs et de valoriser ses atout dans ce secteur (précocité de la production, climat, proximités des marchés européens, prix compétitifs), la Tunisie a accordé une préoccupation particulière à l’organisation de cette filière.
Dans ce cadre, le Comité de coordination du Rassemblement Constitutionnel Démocratique (RCD) de Kairouan (Centre) a tenu, samedi, un séminaire, sous le thème « La réalité et les perspectives de l’agriculture biologique en Tunisie ». A cette occasion, M. Abderrazak Daâloul, secrétaire d’Etat chargé de la Pêche, a passé en revue la stratégie tunisienne quant à la promotion de l’agriculture biologique à l’horizon 2016. Cette stratégie concerne principalement les surfaces exploitées en bio. Ces dernières ont subi une extension de 16 mille ha en 2001 à 285 mille ha en 2008 et ce à l’issue de l’adhésion de la Tunisie, dès juin dernier, dans la liste des pays exportateurs des produits bio à destination de l’Union européenne jusqu’à 2012.
Selon les chiffres fournis à l’issue des travaux du séminaire du Kairouan, les superficies agricoles biologiques ont passé de 16 mille hectares en 2001 à 285 mille en 2008. Il est à signaler que dans le gouvernorat de Kairouan, les superficies globales adoptées en bio ont touché les 1250 hectares qui ont abouti à la production biologique, durant le même exercice, 5600 tonnes.
Force est de savoir que la Tunisie dispose déjà de deux produits où la culture biologique est fortement présente : Les dattes qui s’approchent beaucoup d’un modèle biologique et naturel n’utilisant pas de pesticides et peu d’engrais chimiques. Mais aussi l’Olivier, particulièrement en Tunisie Centrale, Sahel et Basses Steppes et dans la partie méridionale de la Tunisie, du coté de Djerba-Zarzis